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Baptistère Saint-Jean. 생 소뵈르 대성당(Eglise du Saint-Sauveur). 액상프로방스(Aix en Provence)
세계속으로 2014. 8. 17. 15:31Baptistère Saint-Jean. 생 소뵈르 대성당(Eglise du Saint-Sauveur). 액상프로방스(Aix en Provence). 프랑스(France)
Baptistère Saint-Jean
Construit à la fin du VIème siècle
Cathédraled d'Aix en Provence
Avec celui de fréjus, le baptistere d'Aix est un des rares baptisteres antiques encore en
fonction dans notre pays. Comme la cathédrale, et les autres éléments du groupe épiscopal
primitif dont il faisait partie, il a été construit vers 500, à I'emplacement de grands monuments
publics romains de la fin du 1er siècle de notre ère dont les éléments sont encore visibles
dans le sol et le sous sol.
Reconstruit à I'identique au XIeme siècle, le baptistère est sans cesse remanié au cours des
siècles et de ce rait il constitue un mémorial de I'histoire civile et religieuse d'Aix pendant un
millénaire et demi
Les baptistères antiques étaient situés à I'extérieur de la cathédrale puisque seuls les baptisés
pouvaient pénétrer dans le batiment sacré.
Situation antique
Evolution
XIème siècle
Reconstruction intégrale du baptistère antique
XIVème siècle
Une cuve baptismale remplace la piscine antique
Etat Actuel
1 et 2 Colonnes en granit provenant d'un monument antique
3 a 8 Colonnes en marbre italien (Cipolin) provenant de monuments antiques
(fin Ier siecle ap J.C)
A Stylobate antique (Temple ou basilique) Soubassement portant les colonnes
C Piscine baptismale plaquée de marbre a I'origine et pourvue d'un systeme d'alimentation
et d'evacuation en eau courante
D Fonts baptismaux XIVeme deplaces lors de la découverte de la piscine antique en 1925
B1 Caveau du 17eme siècle
B2 Dalles du forum du 1er siècle
B3 Caveau du 17ème siècle, socle d'une statue appuyée et dalle du forum
E Vestiges de mosaique du VIème siècle et d'une fresque du XIVème siècle.
Les Tableaux des sept sacrements
dans la cathédrale Saint-Sauveur.
Chaque peintre a traité le sujet de maniere variée, dans le goût des <<années romantiques>>.
A I'exception de I'Ordre, ils ne font pas de références à I'époque antique ou au Nouveau
Testament amis représentent des <<cérémonies>> en costumes et dans des architectures
d'époques historiques différentes et parfois mêlées, du Moyen Age au XIX siècle.
Apres une premiere formation locale ces peintres ont fréquenté, à I'exception de Joseph
Gibert,
les meilleurs ateliers parisiens, ceux de Gros, d'Ingres, de Delaroche, de Cogniet, de Picot...
Auprès de ces maitres et dans I'effervescence du <<creuset>> parisien, ils ont acquis un métier
très sur et renforcé leur personnalité. Plusieurs d'entre eux ont fait une carrierè parisienne.
I- L'extrême-onction (1847) Antoine Coutel (1814-1884)
A. Coutel étudia dans I'atelier d'Ingres.
Cette toile est sans doute la plus puissante, la plus structurée la plus originale de la série.
Le mourant est encore jeune, I'intérieur pauvre et al douleur profonde mais I'ambiance est
sereine. Horizontales et verticales savamment scandées, courbes amorties, couleurs sourdes
contribuent à I'expressivité de la scene transcendée par la qualité de la lumière et la poésie des objets remarquablement présents.
II- L'Ordre (1848) François Latil (1797-1890)
F. Latil fréquenta I'atelier du baron Gros, éleve de David
L'Ordre est le seul tableau de la série qui fasse référence à I'Evangile et à I'institution du
sacrement symbolisé par la remise des clefs à saint Pierre. Le fond est neutre et le style se fait
classique. Des plages de couleurs s'équilibrentsur un jeu de diagonales orientées par les gestes
des Apôtres autour de la grande tache bleue du manteau du Christ (particularité iconoraphique
de cette image : Jésus ne donne qu'une clef à saint Pierre). on perçoit dans I'ampleur des
geste, des drapés, de I'espace une certaine véhémence.
III- La confirmation (non datee) Joseph Gibert (1808-1884)
Eleve à Aix de Constantin, de Granet et de Clérian, J. Gibert ne monte ni n'expose à Paris.
Professeur puis directeur de I'Ecole de Dessin d'Aix, il sera le second conservateur du Musée
Granet, après Clérian et avant son fils Honoré Gibert.
Un éveque fait I'onction sur le front d'une jeune fille accompagnée de sa marraine, dans une
sèche mise en scène historicisante.
IV- Le Bapteme (1847) Jean-Baptiste Martin (1818-1901)
J.B. Martin est I'un des plus proches et des plus fidèles disciples de Granet
La composition frontale, toute en rondeurs lumineuses et tendres reunies dans I'abside d'un
baptistere, est centrée sur le bébé clair porté par ses parrain et marraine. Poésie lumière et
sincérité sont fidèles aux leçons de Granet et plus encore à celles de son ami, le peintre
François Picot, élève de Vincent et de David. Plusieurs personnages serient des portaits.
V- Le Mariage (1846) Alphonse Angelin (1815-1907)
Angelin est I'élève de Paul Delaroche comme Joseph Richaud
Les époux, dans des costumes qui évoquent le moyen-âge, se donnent le sacrement aux
pieds de I'évêque qui les bénit. Acolytes, familles et témoins font en quelque sorte la haie
de chaque côté. La personnailité de I'auteur de cette peinture gracieuse et séduisante de
prime abord, reste difficile à cerner. II compose sur sa toile un monde idéal où sont associés
dans la meme logique visuelle des souvenirs du moyen-âge courtois, de Ghirlandajo,
de Raphaël et d'Ingres.
VI- L'Eucharistie (1848) Joseph Richaud (1814 ? -1904 ?)
J. Richaud travailla dans I'exellent atelier de Paul Dela roche.
La scène est illustrée par la communion de deux jeunes filles,, I'une blanche, I'autre bleue.
Elle s'organise sur une diagonale en profondeur. La touche est à la fois vigoureuse et légère,
remarquablement efficace. II y a chez le peintre aixois un regard sur la réalité et des accents
qui évoquent un peu le pinceau de Courbet.
VII- La Penitence (1849) Léontine Tacussel (née vers 1825)
Léontine Tacussel a eu pour maître Granet et le parisien Léon Cogniet grand peintre et
remarquable professeur.
Un prisonnier dans son cachot reçoit le sacrement par I'intermédiaire d'un magnifique et
vénérable moine chartreux. La composition est axée sur la lumière qui tombe d'un soupirail.
Réfléchie par la bure blanche, elle illumine la prison, symbolisant la lumière du pardon.
La technique est remarquablement maitrisée, comme le montrent la force expressive des
attitudes, le beau visage et les mains du religieux ou la texture des étoffes.
N.B. Ce dernier tableau ne se trouve pas dans le baptistère mais en face sur le mur nord de la nef romane.
- 안내문에서 -
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